J’ai rencontré Joseph

Statue de saint Joseph de l’ouvrier appartenant à la famille Nadeau

Je désire vous témoigner du cœur d’or de M. Nadeau et de son âme qui font de lui un homme remarquable. C’est un artisan qui apprit son métier de carrossier très jeune. Il aimait ce travail et il est devenu très habile.

Réparer des automobiles et des camions est un métier qui exige force, attention, précision, patience, ténacité, endurance, générosité, honnêteté et bien d’autres qualités. Pendant plus de dix ans, j’ai pu bénéficier de ses services. Toujours, j’ai été accueilli avec le sourire : il était disponible, il avait le regard vif, il était franc et direct, et de bon conseil. Ce fut un bonheur pour moi de le côtoyer et de mieux le connaître.

M. Nadeau était un travailleur, un vrai. Il a pris sa retraite à soixante-quinze ans sur le conseil bienveillant de son médecin. Il a vendu son atelier et ses outils.
Dans cet atelier, il y avait une statue de saint Joseph, qui appartenait à sa famille depuis longtemps. Elle lui avait été offerte par son père qui lui avait dit : « Mets la statue de Joseph dans ton atelier et tu ne manqueras jamais de travail. » « C’est bien vrai, me dit-il, je n’ai jamais manqué de travail. » Quel bel héritage!

Quand j’ai appris son décès survenu en mars 2021, mois de Joseph et année dédiée à Joseph, j’y ai vu un signe d’espérance. Joseph continue de veiller sur lui.
C’était un homme fier, qui a vécu humblement sous le regard de Joseph.
Salutations à vous, M. Nadeau !

Roger


Un hiver – j’avais environ dix ans –, le toit de notre maison s’est mis à couler. J’ai entendu mes parents parler de leur budget insuffisant pour faire réparer la toiture. Ma mère a alors confié cela à Joseph et, tout en douceur, sans apport spécial, tout s’est arrangé pour que nous puissions payer la réparation…
Ma confiance en Joseph est née à ce moment-là et depuis, je lui ai toujours confié mes finances et mes emplois, ce dont il s’est très bien occupé.

Guylaine


Il y a un mois, alors que je préparais une livraison de miel à Montréal, plusieurs rougeurs inquiétantes me sont apparues sur une jambe; elles ressemblaient à un zona ou peut-être une allergie. Il me semblait évident que je devais consulter un médecin. Mais je me suis adressée à Joseph, lui disant que je n’avais pas le temps de m’en occuper, puisque j’avais des livraisons de miel à faire dans les prochains jours. 

livraison

Le lendemain, les rougeurs avaient diminué de moitié et, le jour suivant, elles avaient complètement disparu. Merci à Joseph de m’avoir enlevé cette inquiétude, ce qui m’a permis de faire le travail que je devais accomplir.

Laurendé


Lorsque j’avais dix ans, nous sommes déménagés à Laval. Ma mère nous disait que la maison qu’ils venaient d’acheter était sous la protection de saint Joseph. Mon père, de son côté, nous a toujours fait savoir qu’il n’aurait qu’une seule demeure et qu’il mourrait dans cette maison. Effectivement, mes parents ont élevé leurs cinq enfants dans cette maison et, même après leur départ, ils y sont restés, même si elle était bien grande pour eux.

Après le décès de ma mère, mon père désirait toujours garder la maison malgré qu’il vieillissait. Lorsqu’il est décédé, étant exécutrice testamentaire, j’ai eu accès aux dossiers de mes parents. En fouillant un peu, j’ai compris pourquoi ma mère nous avait dit que la maison était sous la protection de saint Joseph : ils avaient signé l’offre d’achat un 19 mars. De plus, c’était une maison modèle fraîchement construite. Saint Joseph l’artisan avait vraiment pensé à notre famille.

Suzanne-Marie


Parmi les témoignages que nous rencontrons sur Joseph, beaucoup le remercient pour un emploi trouvé. Pour ma part, j’ai rarement eu l’occasion de solliciter l’aide de Joseph pour me trouver du travail, attendu que la ferme n’a jamais besoin de congédier son fermier par manque d’ouvrage. Avant de conclure de ce fait que le patron des travailleurs ne pouvait rien pour moi, j’ai pensé à lui demander son aide pour mon travail lui-même : pour qu’il le rende fécond en vue de Dieu, qu’il m’enseigne les bonnes techniques et qu’il m’aide à solutionner les problèmes qui jalonnent le quotidien d’un fermier. J’ai donc pris l’habitude, à la suite de François, évêque de Rome, d’inscrire mes demandes sur un bout de papier que je glisse sous la statue de Joseph endormi qui se trouve à mon chevet – et ça marche! J’aimerais relater deux d’entre d’elles que Joseph a exaucées brillamment.

Il y a quelques années, j’avais dû faire abattre mon nouveau taureau pour cause de maladie incurable et contagieuse. Un bon taureau coûte cher. J’ai demandé à Joseph de m’en trouver un à un prix raisonnable, qui soit doux et, surtout, en santé. Ma demande a été exaucée en tous points. J’ai levé les yeux vers le ciel pour lancer un clin d’oeil de remerciement à Joseph.

L’an dernier, j’avais un problème d’étiquetage de nos pots de miel (je suis aussi apiculteur). Je me creusais les méninges pour trouver une solution vraiment satisfaisante à un coût, encore là, raisonnable. J’ai glissé un message sous le matelas de Joseph. J’ai continué de me creuser les méninges, mais avec la paix au cœur, parce que j’étais certain d’un dénouement heureux, ce qui s’est confirmé au bout de quelques mois.

N’hésitez pas à faire confiance à Joseph, il ne laisse aucun message sans réponse. Même s’il dort à mon chevet, il ne dort pas au travail!

Marc


Voir aussi Joseph Tekton